Paul Verlaine |
Je vous aime trop, Andrée, Au trot tout comme au galop ! Vous êtes mon adorée Au galop tout comme au trot. Andrée, ô je t'aime trop (Bien que trop dans la purée) Et c'est au trot que je bée Après ton jupon salop. Puis chantons-nous la romance Qu'il faut que l'on recommence Comme oiseaux sans feu ni lieu Et prouvons-nous l'espérance, Et la bonne confiance Qu'on se doit au nom de Dieu. |
Contact - Membres - Conditions d'utilisation
© WikiPoemes - Droits de reproduction et de diffusion réservés.
Paul Verlaine (1844 - 1896) |
|||||||||
|
|||||||||
Portrait de Paul Verlaine | |||||||||
OuvresAprès une enfance à Metz, il fait ses études à Paris et trouve un emploi à l'Hôtel de Ville. Il fréquente les salons et cafés littéraires de la capitale et fait la connaissance de nombreux poètes célèbres de son époque. Ces rencontres l'incitent à composer lui aussi des vers. Verlaine est d'un caractère timide, et cette faiblesse est aggravée par des deuils familiaux : il se tourne alors vers la b ChronologieBiographie |
|||||||||