Paul Verlaine

Alain Bosquet

Jules Laforgue

Jacques Prévert

Pierre Reverdy

Max Jacob

Clément Marot

Aimé Césaire

Henri Michaux

Victor Hugo

Robert Desnos

Blaise Cendrars

René Char

Charles Baudelaire

Georges Mogin

Andrée Chedid

Guillaume Apollinaire

Louis Aragon

Arthur Rimbaud

Francis Jammes


Devenir membre
 
 
 

Paul Verlaine

Pour dénoncer la « triplice » au lieu du concordat - Poéme


Poéme / Poémes d'Paul Verlaine





L'Italie ?
Elle est dans le train
Extraordinaire qui s'emporte
Même au delà des flots du
Rhin,
Même en deçà de notre
Porte !

L'Autriche, elle est bien bonne là.
Non sans son « laurier » sur son shak-



O, la
Prusse qu'on consola*
Par telles cessions dont chaque

Est si terrible qu'il ne faut
Aucunement espérer trêve
Ni paix sans reprendre de haut !
Verdun,
Toul,
Metz, hélas ! et
Trêve !...



Et quant à ce... gouvernement
Qui prétend garder l'équilibre
En l'occurrence, ou bien il ment
Ou bien la
France n'est pas libre !






Contact - Membres - Conditions d'utilisation

© WikiPoemes - Droits de reproduction et de diffusion réservés.



Paul Verlaine
(1844 - 1896)
 
  Paul Verlaine - Portrait  
 
Portrait de Paul Verlaine


Œuvres

Après une enfance à Metz, il fait ses études à Paris et trouve un emploi à l'Hôtel de Ville. Il fréquente les salons et cafés littéraires de la capitale et fait la connaissance de nombreux poètes célèbres de son époque. Ces rencontres l'incitent à composer lui aussi des vers. Verlaine est d'un caractère timide, et cette faiblesse est aggravée par des deuils familiaux : il se tourne alors vers la b

Chronologie


Biographie