Jean-Baptiste Poquelin | 
            
L'Espoir, il est vray, nous soulage,  Et nous berce un temps notre ennuy : Mais, Philis, le triste avantage, Lors que rien ne marche après luy ! Vous eustes de la complaisance Mais vous en deviez moins avoir; Et ne vous pas mettre en dépense Pour ne me donner que l'Espoir. S'il faut qu'une attente éternelle Pousse à bout l'ardeur de mon zèle Le Trépas sera mon recours. Vos soins ne m'en peuvent distraire ; Belle Philis, on désespère. Alors qu'on espère toujours.  | 
			  
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Jean-Baptiste Poquelin (1622 - 1673)  | 
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| Portrait de Jean-Baptiste Poquelin | |||||||||
Biographie | 
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