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André Chénier



Ouvres de André Chénier


Poésie / Poémes d'André Chénier





André Marie de Chénier, dit André Chénier, né le 30 octobre 1762 à Constantinople et mort guillotiné le 25 juillet 1794 à Paris, est un poète français. Il était le fils de Louis de Chénier.



Après avoir voyagé en Suisse - il s'est, entre autres, attardé sur les bords du lac Léman - ainsi qu'en Italie, il fut nommé secrétaire à l'ambassade de France à Londres pendant trois années qui furent entrecoupées de séjours à Paris (1787-1790). À son retour, il participa avec enthousiasme d'abord, puis avec plus de distance, au mouvement révolutionnaire.



Il est l'auteur du Journal de la Société de 1789 qui compta une quinzaine de numéros. À partir de 1791, il collabora avec son ami Michel Regnaud de Saint-Jean d'Angély au Journal de Paris, organe constitutionnel, y condamnant les « excès » de la Révolution dans des articles critiques contre Jacques Pierre Brissot, ou plus énergiques contre Jean-Paul Marat et autres. André Chénier, qui habitait dans le quartier du sentier à Paris, se rendait souvent à Versailles et à Marly où se trouvait la propriété de ses amis Le Couteulx. Inquiété pour ses prises de position publiques, au même titre que Regnaud de Saint-Jean d'Angély, il réussit à sortir de Paris après le 10 août. Au moment des massacres de septembre, il était arrivé au Havre, d'où il aurait pu embarquer. Il refusa néanmoins d'émigrer et revint à Paris pour participer aux tentatives faites pour arracher Louis XVI à l'échafaud.



André Chénier 1762 - 1794 «Pourtant j'avais quelque chose là.» André Chénier, en se frappant le front, prononça ces quelques mots le 25 juillet 1794 au moment d'être guillotiné. André Chénier, le seul grand poète du XVIIIe siècle, est né à Constantinople. Son père, consul général de France, quitte bientôt cette ville pour le Maroc, alors que sa mère, issue d'une famille latine d'Orient, une âme grecque, marquée par la tradition grecque et la religion orthodoxe, s'installe à Paris. Elle y ouvre un Salon brillant où se retrouvent des poètes, des artistes, des scientifiques, des hellénistes et des archéologues. Le jeune André Chénier y puise avec ses frères le goût de la culture et l'intelligence de la beauté antique. Il y fréquentera le poète Lebrun-Pindare, le peintre David et plusieurs savants, tout en apprenant à la lecture de Montesquieu, Voltaire et Rousseau l'amour de la liberté. Pendant des Études solides au collège de Navarre, où, roturier pauvre, il côtoie les héritiers riches et titrés, il noue de nobles amitiés. À partir de dix-huit ans, ce sera la dure recherche d'un emploi et, pour occuper le temps, l'alternance entre travaux et dissipations; des amours faciles (Lycoris); une liaison orageuse avec une créole de mince vertu (Camille D'Azan). Après un bref séjour dans l'armée à Strasbourg, il entreprend un premier voyage en Italie, puis un autre en Suisse avec les frères Trudaine. En 1787, à vingt-cinq ans, il se résigne à prendre une place d'humble secrétaire d'ambassade et séjourne à Londres jusqu'en 1790. À son retour, il participe au mouvement révolutionnaire. La Révolution lui donne une raison d'exister; il a regagné la France pour agir. Journaliste modéré, son ardeur le perdra. Il fonde la «Société de 89», mais s'inquiète rapidement de la violence et de l'anarchie. Collaborant notamment à la défense de Louis XVI, il part en guerre contre la tyrannie jacobine et se fait des ennemis mortels. La journée du 10 août le jette dans la clandestinité. Il séjourne notamment dans la banlieue de Versailles, où il entretient une amitié amoureuse avec Fanny Le Coulteux.



Les Bucoliques, publication posthume (1819)

À Abel (Élégies)

À Charlotte Corday (Hymnes et Odes)

À compter nos brebis je remplace ma mère (Poésies Antiques)

À de Pange aîné (Épîtres)

À de Pange (Élégies)

À Fanny (I) (Élégies)

À Fanny (II) (Élégies)

À Fanny (III) (Élégies)

À Fanny malade (Élégies)

A l'hirondelle (Poésies Antiques)

A la France (Hymnes et Odes)

Ah ! je les reconnais, et mon cour se réveille (Élégies)

Ah ! portons dans les bois ma triste inquiétude (Élégies)

Ah ! prends un cour humain, laboureur trop avide (Poésies Antiques)

Amymone (Poésies Antiques)

Art d'aimer, fragment III (Poèmes)

Art d'aimer, fragment II (Poèmes)

Art d'aimer, fragment VIII (Poèmes)

Art d'aimer, fragment VI (Poèmes)

Au chevalier de Pange (Elégies)

Aux frères de Pange (Elégies)

Bacchus (Poésies Antiques)

Bel astre de Vénus... (Poésies Antiques)

Chrysé (Poésies Antiques)

Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyr (Dernières poésies)

Épilogue (Poésies Antiques)

Euphrosyne (Poésies Antiques)

Fille du vieux pasteur, qui d'une main agile (Poésies Antiques)

Hercule (Poésies Antiques)

Hylas (Poésies Antiques)

Il n'est donc plus d'espoir, et ma plainte perdue (Élégies)

Il n'est que d'être roi pour être heureux au monde (Élégies)

J'étais un faible enfant qu'elle était grande et belle (Poésies Antiques)

Je sais, quand le midi leur fait désirer l'ombre (Poésies Antiques)

Jeune fille, ton cour avec nous veut se taire (Élégies)

L'Amérique (Poèmes)

L'amour endormi (Poésies Antiques)

L'amour et le berger (Poésies Antiques)

L'amour laboureur (Poésies Antiques)

L'art, des transports de l'âme est un faible interprète (Élégies)

La jeune captive (Dernières poésies)

La jeune L

La jeune tarentine

Tout hommes a ses douleurs. Mais aux yeux de ses frères ( Élégies)



Ouvres d'art inspirées de ses poèmes et de sa vie



La jeune Tarentine par Alexandre Schoenewerk, sculpture en marbre, 1871, 171 cm x 74 cm x 68 cm. Coll. Musée d'Orsay, Paris (France).

Torse de La Jeune Captive par René Iché, sculpture en marbre, 1932, H. 64 cm. Coll. Fonds municipal d'art Contemporain de la Ville de Paris, Paris (France).

La Jeune Tarentine par René Iché, sculpture en marbre, 1932-34, L. 85 cm. Coll. privée, New-York (USA).

Andrea Chénier, opéra d'Umberto Giordano sur un livret de Luigi Illica (1896).

Le Pas du juge (2009), roman de Henri Troyat dont il est le personnage central, avec son frère Marie-Joseph et leurs parents (le père est Louis de Chénier).



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André Chénier
(1762 - 1794)
 
  André Chénier - Portrait  
 
Portrait de André Chénier

Ouvres

André Marie de Chénier, dit André Chénier, né le 30 octobre 1762 à Constantinople et mort guillotiné le 25 juillet 1794 à Paris, est un poète français. Il était le fils de Louis de Chénier.

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