wikipoemes
paul-verlaine

Paul Verlaine

alain-bosquet

Alain Bosquet

jules-laforgue

Jules Laforgue

jacques-prevert

Jacques Prévert

pierre-reverdy

Pierre Reverdy

max-jacob

Max Jacob

clement-marot

Clément Marot

aime-cesaire

Aimé Césaire

henri-michaux

Henri Michaux

victor-hugo

Victor Hugo

robert-desnos

Robert Desnos

blaise-cendrars

Blaise Cendrars

rene-char

René Char

charles-baudelaire

Charles Baudelaire

georges-mogin

Georges Mogin

andree-chedid

Andrée Chedid

guillaume-apollinaire

Guillaume Apollinaire

Louis Aragon

arthur-rimbaud

Arthur Rimbaud

francis-jammes

Francis Jammes


Devenir membre
 
 
auteurs essais
 

Marc de Papillon de Lasphrise



Sonnet lvii - Sonnet


Sonnet / Poémes d'Marc de Papillon de Lasphrise





Cousinons la cousine, elle est cointe et jolie,

Elle aime à cousiner, et ne refuse rien

Au cousin cousinant, qui la cousine bien ;



Car il a bouche à
Cour, et la chambre garnie.
En si beau cousinage un cousin ne s'ennuyé,

Ce n'est que sucre et miel, ce n'est qu'humble entretien



Il ne manque d'attraicts, de faveurs, de moyen,
Tant qu'il peut cousiner sa cousine, s'amie.



Cousinons donc cousins un chacun à son tour,
Cousinant à rengette on cousine en
Amour,
Que chaque cousineux en cousinant s'assemble,



Mais non, nobles cousins, fuyons ce cour paillard,
Laissons le cousiner au cousin grand pendard :
Car au cheval
Sejan la cousine ressemble.



Contact - Membres - Conditions d'utilisation

© WikiPoemes - Droits de reproduction et de diffusion réservés.

Marc de Papillon de Lasphrise
(1555 - 1599)
 
  Marc de Papillon de Lasphrise - Portrait  
 
Portrait de Marc de Papillon de Lasphrise
mobile-img