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Jean de La Ceppède



Sonnet xxviii - Sonnet


Sonnet / Poémes d'Jean de La Ceppède





Cil qui bande l'optique au lever du soleil

Vers sa brillante
Sphère, eblouy tout à l'heure
Ne le peut regarder : mais s'il porte son oil
Sur les couteaux voisins, il voit sa chevelure.



Les yeux plus épurez de l'humaine souilleure
S'efforçants de voir
Dieu tombent en cas pareil.
Il faut donc regarder (c'ét la voye meilleure)
Vers ces monts étoffés de son riche appareil.



Ces monts sont ses esleus qui font le frontispice
De l'Eglise, et sur eux le
Soleil de justice
Rayonnant, se fait voir aux yeux plus chassieux.



Cil qui void aujourd'huy l'admirable puissance
Des douze, et n'y void pas céte divine essance,
Est un sot à merveille, ou très-malicieux.






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Jean de La Ceppède
(1550 - 1623)
Portrait de Jean de La Ceppède


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