Guillaume des Autelz |
Par le pouvoir si hautement puissant, Que souz luy vit toute deité moindre : Qui les scadrons angeliques fait craindre Comme à qui est le Ciel obéissant : Le pentamorphe, et le tout unissant Qui t'a voulu, ô mon daimon, contraindre A vivement d'un noud naturel joindre Ceste prompte ame a ce corps languissant : Par le journel sacrifice à toy deu : Et par ton nom que j'ay bien entendu, Mais qui n'est point aux hommes revelable : Fay moy d'amour le saint temple aprocher, Et dignement au parvy afficher De mon repos le travail pardurable. |
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Guillaume des Autelz (1529 - 1581) |
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Portrait de Guillaume des Autelz | |||||||||