wikipoemes
paul-verlaine

Paul Verlaine

alain-bosquet

Alain Bosquet

jules-laforgue

Jules Laforgue

jacques-prevert

Jacques Prévert

pierre-reverdy

Pierre Reverdy

max-jacob

Max Jacob

clement-marot

Clément Marot

aime-cesaire

Aimé Césaire

henri-michaux

Henri Michaux

victor-hugo

Victor Hugo

robert-desnos

Robert Desnos

blaise-cendrars

Blaise Cendrars

rene-char

René Char

charles-baudelaire

Charles Baudelaire

georges-mogin

Georges Mogin

andree-chedid

Andrée Chedid

guillaume-apollinaire

Guillaume Apollinaire

Louis Aragon

arthur-rimbaud

Arthur Rimbaud

francis-jammes

Francis Jammes


Devenir membre
 
 
auteurs essais
 

Jean-Philippe Salabreuil



Autre chant du chien - Chanson


Chanson / Poémes d'Jean-Philippe Salabreuil





J'abandonne tout au vent

Ne me laisse que mon chant

Mais plus vrai plus chaud plus calme

Dans la trouée bleue de l'âme

Des hivers et des printemps

J'ai travaillé l'air du temps

Qu'il renverse les barrières

Qu'il crible d'or la lumière

Qu'il crache l'herbe des champs

Jusqu'au front des astres lents

Lorsque la nuit mise au monde

L'étoile dans l'eau profonde

Écoute l'obscur l'entend

Et surgisse enfin l'instant

Qu'avec le râle des chiennes

Mon chant de chien vous parvienne.






Contact - Membres - Conditions d'utilisation

© WikiPoemes - Droits de reproduction et de diffusion réservés.



Jean-Philippe Salabreuil
(1940 - 1970)
 
  Jean-Philippe Salabreuil - Portrait  
 
Portrait de Jean-Philippe Salabreuil


Biographie / chronologie

Jean-Pierre Steinbach est né le 25 mai 1940 à Neuilly-sur-Seine.
Etudes au Lycée Jean-Baptiste Say (Baccalauréat en philosophie).
Etudes et licence en droit.
Prépare une thèse de doctorat sur « Les coutumes africaines ».

Bibliographie / Ouvres

Né le 25 mai 1940 à Neuilly-sur-Seine, Jean-Pierre Steinbach - qui prit le pseudonyme de Jean-Philippe Salabreuil - meurt à Paris le 27 février 1970. Trois recueils de poèmes constituent son ouvre : La Liberté des feuilles (1964) - dont le titre est tiré d'un hémistiche emprunté à René-Guy Cadou - est remarqué par Jean Paulhan et obtient sur manuscrit, grâce à ce dernier, le prix Félix Fénéon en

mobile-img